Quelle Belle Epoque !
Du 6 juillet au 28 septembre 2019
QUELLE BELLE EPOQUE ! arts décoratifs 1870-1914
Peinture, mobilier, arts de la table, costumes...L' art de vivre de 1870 à 1914 autour de collections publiques et privées.
Une exposition unique regroupant à la fois des collections privées et publiques. A travers portraits de la haute bourgeoisie, paysages et natures mortes, c'est tout une société que l'on découvre : celle des palois de la Belle Epoque, des anglo-américains en villégiature dans les Pyrénées, et celle de la bourgeoisie industrielle locale. Réceptions, sorties à cheval, chasse à courre ou parties de bridge au Palais d'Hiver sont évoquées à travers les tableaux de Sealy ou d'Ernest Bordes, à travers les pièces de vaisselle réservées à la réception.
"parfums d'Iran" art contemporain
Du 6 juillet au 27 octobre
Exposition couplée avec La Minoterie (Nay), Le Hangar (Bayonne), La Médiathèque de Laruns et la SHEM (Laruns)
Onze artistes iraniens vous font découvrir leur vision de l'art contemporain qu'ils soient venus de Téhéran spécialement pour cette expo, ou qu'ils vivent en Europe (Suède, Pays-Bas, France)
Une découverte exceptionnelle et unique en France !
Issu d'un héritage millénaire et multi-culturel, l'art contemporain iranien reste méconnu en Europe aujourd'hui alors que Téhéran, jusqu'à la révolution des Mollahs, était considérée comme l'une des capitales les plus à l'avant garde de l'art.
Roger Laüt, une poétique de la couleur
Exposition du 8 juillet au 30 septembre 2017
Montagnes et eau, l’œuvre de Roger Laût pourrait se définir ainsi tant il peint et médite devant ces paysages béarnais riches en ces deux domaines. Toute une vie de contemplation, c’est ce que cette exposition cherche à vous montrer : eau vive des gaves et torrents, cascades aux blancs éblouissantes, sombres eaux profondes… poésies de neige qui s’accompagnent des mélodies de Schubert, vignes et couleurs flamboyantes de l’automne en Vic-Bilh ou encore ces balades en forêts aux verts profonds et changeants
Raymond de Longueil
Les quatre Saisons
Exposition du 2 juillet au 1er octobre 2016
Le Baron de Longueil (1921-2004) a travaillé toute sa vie dans la région de Navarrenx croquant avec différentes techniques aussi bien les paysages que les hommes.
Sa peinture est riche de sens et de couleurs.
Ernest Gabard
Né en 1879 à Pau, il entre dans l’atelier d’Alexandre (sculpteur et plâtrier-staffeur) qui va lui donner une première formation avant d’intégrer en 1897 l’Ecole des Beaux-Arts de Paris. Mais c’est surtout la rencontre avec Auguste Rodin dont il suit régulièrement les cours, qui marquera sa vie et son œuvre. Les succès s’enchaînent dès son retour à Pau.
Sacré Pays de Nay ! à la Maison Carrée
Du 5 Juillet au 21 Septembre 2014
Cette exposition s'est préparée dans le cadre du montage du Festival d'art sacré en Pays de Nay. Elle est née de la volonté de plusieurs locaux, désireux de faire découvrir au public les trésors cachés du patrimoine sacré local. Il s'avère que "l'art sacré" est aussi la thématique choisit par les Musées de France pour l'année 2014.
L'exposition présentée à la Maison Carrée, propose de vous faire connaître le patrimoine sacré récent du territoire, comment lire et apprécier ce patrimoine, les rites et objet du XVIème siècle à nos jours. Elles est constituée d'objets: tableaux, sculptures, objets liturgiques, vêtements, plans et photos... provenant notamment des églises du territoire du Pays de Nay, mais aussi de la Maison de Retraite et du Collège Saint Joseph.
Dominique Duplantier - Dessins 1980-2013
Du 6 juillet au 15 septembre 2013
Dominique Duplantier commence sa carrière de dessinateur chez Charlie Hedbo, puis réalise des bandes-dessinées pour les magazines Zinc et Charlie mensuel.
En 1973, il est choisi par le Centre Georges Pompidou pour l’exposition Drôle de Solitude aux côté d’autres dessinateurs tels que Reiser, Brétecher ou Topor par exemple. L’exposition montre deux facettes de son art : le dessin de ville et une œuvre personnelle tout en intériorité.
François-Xavier Fagniez - Ecritures d’eau
Du 29 juin au 2 septembre 2012
Exposition présentée à la Maison Carrée et à la Minoterie. La vision littéraire du peintre où le pinceau découpe et irrigue le paysage afin de la conduire vers une abstraction subtile de la nature.
Une pluie de lucioles rouges et noires sur la mer blanche !
Un givre déjà fragile, affleurant un brun tapis de feuilles !
Une eau bleutée courant vivement sous la glace !
" Cette peinture offre au regard une matière visuelle libérée de toute ressemblance, et livrée à la simple sensibilité. Elle donne à voir ce que le peintre a cru voir. Un lieu peint. Une portion d’espace close par la dimension du support, sans contours, extrait d’un tremblement du monde auquel le peintre participe. Il s’agit plutôt de déposer sur le papier le temps de la vie, et d’être en même temps présent à son écoulement. Intérioriser puis extérioriser "
Joseph et René-Marie Castaing, peintres béarnais
Du 8 juillet au 31 août 2011
René-Marie Castaing a commencé sa carrière sous l’égide de Joseph, son père, portraitiste à la mode à Pau à la Belle Epoque. Joseph Castaing est un peintre impressionniste, intimiste qui aime travailler le pastel et les matières douces. Décorateur de talent, il renouvela la grande peinture religieuse en Béarn dans la lignée des grands décors de Puvis de Chavannes.
René-Marie Castaing a également une œuvre considérable tant de portraitiste que de peintre et décorateur. La confrontation des œuvres du père et du fils permet de voir la filiation picturale mais aussi l’évolution picturale de René-Marie, qui restera l’un des artistes régionaux des plus importants.
Jean-Claude Cubino, Tauromachie n°2
Du 2 juillet au 29 août 2010
Jeune artiste originaire de Salamanca, Jean-Claude se moque des traditions espagnoles machistes et cruelles. Son trait est cru et ironique.
A travers des portraits de toréadors célèbres, l’artiste nous propose une réflexion sur la fin de cette tradition des corridas en Espagne : les toréadors vont-ils monter au paradis comme des anges ? Ce travail sur des rideaux de douche est original et puissant.
Il est également un très bon dessinateur et travaille à Salamanca à une grande fresque sur les maladies mentales.
Robert Debiève, rétrospective
Du 19 juin au 30 août 2009
Robert Debiève est probablement le premier designer engagé par les manufactures de meubles de Nay dans les années 60 (Minvielle et Cabanne). Il a renouvelé la conception du mobilier moderne en introduisant de nouvelles matières, mais aussi celle de l’agencement et de la décoration de l’appartement.
Dessinateur des wagons SNCF ou de salons de grands paquebots, il a aussi beaucoup travaillé pour les ateliers d’Aubusson et la tapisserie contemporaine.
En parallèle, il a conçu une œuvre picturale largement inspirée par les couleurs changeantes des étangs de Provence
Paul Mirat
Du 4 juillet au 31 août 2008
Dessinateur de mode, journaliste et caricaturiste de presse, amateur de chevaux, Paul Mirat est l’homme aux multiples facettes qui a croqué avec talent la Belle Epoque à Pau, la saison au Palais d’Hiver, la chasse à courre ou encore les premiers temps de l’aviation. Un témoignage unique et sans concession.
Le deuxième thème de la collection porte sur l’histoire du Béarn dont Paul Mirat était friand. Dans une longue série de tableaux, il va ainsi écrire l’épopée béarnaise depuis les temps de chasse de Gaston Fébus jusqu’à la mort d’Henri IV. Inspiré par les enluminures médiévales qu’il modernise à sa façon, il créé des univers tout à fait particuliers.
Maurice Triep-Capdeville, aquarelles
Du 26 octobre au 14 novembre 2007
Maurice Triep-Capdeville est une des figures incontournables la vie nayaise.
Infatigable amateur d’Histoire et d’histoires, il est aussi friand de paysages et essaye de capter la lumière fragile de notre petit coin de paradis.
Il manie surtout l’aquarelle et fixe sur la toile des instants de bonheur qu’il a rencontré au détour d’une rue ou d’un petit chemin.
Jean-Marie Poumeyrol et Jean-Pierre Ugarte
Du 9 juillet au 2 septembre 2007
Deux noms qui marqueront pour longtemps Pau.
Deux compères de la réalité transfigurée, de mondes perdus, nostalgiques d’une époque révolues.
Peintres de paysages, leurs toiles témoignent d’interrogation sur l’être, ses origines et son avenir.
Jean-Pierre Ugarte travaille sur des paysages virtuels inspirés par des natures bouleversées, par les temps de neige ou de demi-crépuscule.
L’homme n’y est jamais présent, mais peut-être pas tout à fait absent non plus.
Jean-Pierre Ugarte
Jean-Marie Poumeyrol décrit avec d’infinis détails des lieux ou des architectures à l’abandon, oubliés de tous. Paysages de l’âme, ses tableaux reflètent l’univers intime de l’artiste.
L’Art de l’Estampe
Du 6 juillet au 2 septembre 2006
Arroyo, Bazaine, Braque, César, Chahab, Da Silva, Debré, Ernst, Erro, Estève, Fagniez, Goezt, Loste, Marfaing, Martini, Miro, Soulages, Tapiès...
Exposition à la Maison Carrée et à La Minoterie. Issue de deux grosses collections privées, cette exposition rassemble les plus grands noms de l’art contemporain, du cubisme à l’abstraction lyrique.
Un prétexte à se balader dans l’histoire de l’art.
Odile Mir, sculptures et œuvres sur papier
Du 6 août au 18 septembre 2005
Artiste atypique, Odile Mir a travaillé pour cette exposition les grands mythes de la Grèce classique sur des supports divers.
On retrouve ainsi Ariane et le Minotaure dans un livre labyrinthique, ou encore les chiens gardiens des Enfers, mais aussi une inspiration biblique avec Adam et Lilith par exemple.
Une réflexion sur le cycle de la vie, l’amour, la mort.
Jacques Aubinel, retour aux sources
Du 15 juin au 31 juillet 2005
Scénographe et peintre, Jacques Aubinel travaille la matière comme il travaillerait la terre.
Son retour aux sources passe par une réflexion sur la cosmogonie primitive.
Fasciné par l’histoire de l’art et notamment l’art des premiers temps à travers les peintures rupestres, Jacques Aubinel sonde la matière et le temps par la couleur et les formes. Cercles et formes presque animales rappellent ces premiers temps de l’homme.
Autour de Support-Surface, choix d’un collectionneur
Du 2 juillet au 31 août. 2004
Bioules, Buraglio, Devade, Grand, Pagès, Pincemin et Viallat
Jean-Jacques Lesgourgues, mécène aquitain, présente un parcours entre peinture et sculpture rappelant l’importance de ce mouvement sur la scène artistique française : le collectif Support-Surface considérant l’œuvre dans sa matérialité pure.
Ce mouvement né en 1969 lors de l’exposition au Musée du Havre « la peinture en question », rassemble une dizaine d’artistes qui posent alors les fondements de leur pensée artistique :
« L'objet de la peinture, c'est la peinture elle-même et les tableaux exposés ne se rapportent qu'à eux-mêmes. Ils ne font point appel à un "ailleurs" (la personnalité de l'artiste, sa biographie, l'histoire de l'art, par exemple). Ils n'offrent point d'échappatoire, car la surface, par les ruptures de formes et de couleurs qui y sont opérées, interdit les projections mentales ou les divagations oniriques du spectateur. La peinture est un fait en soi et c'est sur son terrain que l'on doit poser les problèmes.
Il ne s'agit ni d'un retour aux sources, ni de la recherche d'une pureté originelle, mais de la simple mise à nu des éléments picturaux qui constituent le fait pictural. D'où la neutralité des œuvres présentées, leur absence de lyrisme et de profondeur expressive. »
Laine et Couleur, Collection privée de tapisseries contemporaines
Exposition à la Maison Carrée et à la Minoterie d’un des plus grands collectionneurs en France.
La collection commence avec les grands maîtres de la tapisserie des années 50 avec Lurçat, Saint-Saëns ou le Doux, puis s’oriente vers les ateliers Pinton qui noué des contacts privilégiés avec les plus grands artistes contemporains.
Rémi Trotereau, sculptures et dessins
L’univers fantasmagorique de Trotereau dans l’architecture classique de la Maison Carrée.
Une association surprenante, voire inquiétante : personnages mutilés aux os proéminents, cocons pendus dans les recoins, sarcophages de résine...
« Trotereau, explore la matière avec force et conviction, reliefs mystérieux, matières triturées, des œuvres venues d'un autre monde, d'une présence indéniable. Avec des moyens, d'une grande simplicité, Trotereau, a construit un monde qui ne laissera personne indifférent. » (Fréderic Altmann - Château musée de Carros).